Je me prénomme Holia Victoria Droski et je suis née a Peterbourg, j'y étais heureuse même si comme beaucoup, j'aurais tant aimé vivre en France - ou sur une ile magnifique bref... Puis, nous avons déménagé en Amérique au Texas mais, pour l'instant, on s'en moque, je t'en reparlerais un peu plus tard. Hélas, je fus fille unique, pourtant j'aurais apprécié avoir une grande famille comme on voyait souvent à la télévision lorsqu'il y avait des reportages l'été sur les familles nombreuses ou comme mon cher paternel qui avaient des tas de frères et sœurs. Non, moi j'ai grandi toute seule. Tu dois certainement savoir ce que sait toi ? - ou pas. Dans ce cas, tu aurais une sacré veine. Durant mon enfance, j'étais selon les paroles de mes parents une vraie petite peste qui courait dans toute la maison, passant son temps à s'amuser avec les bêtes que nous avions adoptées. Étrangement je ne m'en souviens pas. Suis-je normale ou toi aussi tu as oublié une bonne partie de ton enfance ?. Quand je dis enfance, je te parle de tes genre cinq ans ou sept ans....Pour ma part, c'est le flou total, il parait que ça reviens avec l'âge, on verra bien...

J'étais proche de mes parents mais, surtout de mon père, un exemple en quelque sorte pour moi. Puis en grandissant je me suis rendu compte que quelque chose l'avait changé. Oui, changer. Son métier. Militaire dévoué depuis son premier jour où il signa son engagement selon lui. Je n'étais pas encore née à cet instant. Lorsqu'il partait durant un certain temps, j'avais souvent l'impression qu'il nous cacher quelque chose, qu'il avait peur. Ses yeux étaient remplis de terreur qu'il avait vue lors de ces missions qui duraient un ou deux mois même un peu plus, ce qui nous semblait à ma mère & moi, une réelle éternité. Lorsqu'il rentrait, les soirées étaient remplies de silence, surtout lorsque l'on abordé son métier, la plupart du temps c'était un « Ne parlons pas de ça, plus tard si vous voulez » lancer brièvement. Sachant que plus tard voulez dire, jamais ! Je laissais tombé voyant le regard de ma mère qui semblait amère. Je veillais à mes occupations. Comme la plupart des adolescent, je sortais beaucoup, entre sorties avec les amis et soirée très festive, je me préoccupais plus vraiment du couple Droski qu'était mes parents. Il parait que l'enfance ainsi que l'adolescence sont des périodes importantes de notre vie. Durant ces nombreuses années, des choses nous marquent. Il y a de la tristesse, de la joie, de la colère, de l'hystérie, tout ceci se résume en un seul mot : la vie.

Il y a des instants où les choix que tu risques de faire, perturberait ta vie à tout jamais. Dans ce cas, tu tentes de te justifier, d'expliquer le problème et malgré le courage et les maintes tentatives de ma mère devant le choix qu'elle avait pris, je ne comprenais toujours pas et malgré le mal que cela me causer, je ne lui en voulais pas. Mon père n'était pas le fautif non plus. En fait, je voulais juste les protéger et garder une image propre et idéal de ces deux personnes. Le divorce des mes parents fut la chose la plus difficile à accepter, durant un long moment, j'ai vainement tenter de les faire changé d'avis mais, cela était une peine perdu. Mon paternel avait vu clair dans mon petit jeu, cela ne l'embêtait pas mais, cela ne plaisait guère à ma mère, Victoria. De plus, le divorce prononcé nous quittions la Russie pour l'Amérique. Quelle sombre idée. Dans ce cas, oui je maudissais mes parents. Papier signée, adieu la Russie, bonjour l'Amérique et cette pollution environnante. Cette la première raison que je sortais à ma mère quand elle me demandais pourquoi je refusais de quitter la Russie mais, c'était plutôt la prendre pour une sombre idiote. Après tout, qui ne tente rien n'a rien puis, je n'avais que seize ans, je ne réfléchissais pas énormément.

L'Amérique, l'Amérique...Stop ! Je n'aimais pas cette ville qu'était le Texas, de toute façon, je n'aimais rien depuis ma mère et ma propre personne avons quitté la Russie. Mon paternel était resté là-bas, restant accroché à son maudit travail. Quelle vie de grande galère même s'il devait bien y avoir pire que mon cas. La vie était bien plus complexe, ma mère tentait vainement de trouver un travail et moi je tentais de m'habituer à toute cette population et tout ce qui pouvait lier l'Amérique. Finalement, avec pas mal de temps, je me suis attaché à cette ville. Je fis des études afin de devenir paysagiste et Victoira, ma mère s'était remarié à un pauvre bourgeois même pas capable de tondre une pelouse. Ah, je peux vous assurer que je le maudissais celui-ci. Puis, grande nouvelle, merveilleuse décision de mon 'beau-père' direction les Bahamas. Vacances ! Dans ce cas, je l'adorais enfin, pas de trop tout de même. Ces plages à perte de vue, le sable chaud, cette magnifique sensation d'être dans un rêve. Ce n'était que le début des vacances...

PSEUDO ✿ Callie
PRÉNOM ✿ Maureen
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